Si Gabriel Attal s'est bien appliqué à présenter ses mesures choc en les enrobant de grossières flatteries envers les professeur·es, son projet pour l'école ne trompe personne et fait froid dans le dos. Il signe la fin de la liberté pédagogique et la marche forcée vers une prolétarisation du métier d'enseignant·e. Pas un mot sur les inégalités scolaires et sociales, sur l'école inclusive privée de moyens, ni sur les 102 alertes sociales déposées dans les DSDEN la semaine passée.