La situation des AESH est de plus en plus catastrophique : précarité qui se traduit par des temps incomplets subis et des salaires largement insuffisants, dégradation des conditions de travail amplifiée par les PIAL, mépris institutionnel… De nombreux·ses AESH expriment leur exaspération, leur souffrance et leur sentiment d’abandon. Le ministère ne répond pas à ces signaux d’alerte.